• Création d'un univers

    Tout a commencé sur des chaises longues, dans un jardin, avec un gamin de 4 ans qui allait remplir son pistolet à eau pour nous tirer dessus.
    J’étais motivée pour écrire une nouvelle et me relancer un peu dans l’écriture et l’illustration après la publication de « Requiem pour un tombeur » que j’attendais depuis plus d’un an. La sortie de la nouvelle de Parthénia m’a regonflée à bloc. J’avais envie de soulever des montagnes et de me remettre à écrire. Seule ou à deux.
    Comme souvent, c’est Koelia qui s’est trouvée être la plus réactive pour réaliser un projet à deux. Nous avions déjà collaboré, donc on savait que notre duo fonctionnait plutôt pas mal.
    Mais cette fois j’avais envie de quelque chose d’un peu différent. D’ordinaire, il y en avait une qui écrivait, et l’autre qui illustrait, comme pour Ad Vitam Aeternam,  ou Fusion. Il y avait partenariat mais pas de réelle collaboration. Pour cette nouvelle j’avais vraiment envie de quelque chose d’entièrement fait à deux. Tant au niveau de l’écriture que des personnages.

    L’idée de base n’était pas spontanée. C’est bizarre cette sensation d’avoir envie d’écrire, de le vouloir vraiment. Ecrire oui, mais quoi ? Il y a eu un long moment de silence, une sorte d’angoisse de la page blanche sans la page et sans le stylo.

    Nous avions déjà à notre actif pas mal de choses tristes ou romantiques. Nous avions envie un peu de changer de registre. Avec plus d’humour et pas forcément une histoire d’amour qui se déroule explicitement. En gros, on ne voulait pas de bisous-bisous, mais quelque chose qui serait plus axé autour d’un message et d’une idée forte.

    Nous voulions que ce soit le sujet même de l’histoire qui suscite l’émotion et non pas les relations entre personnages. Les personnages c’est trop facile. Trop évident. Des histoires comme ça on en a écrit des tonnes, l’Atelier et nos blogs personnels en sont remplis. Et ceux qui me connaissent le savent : j’ai horreur de me reposer sur des acquis. Ce que j’aime c’est m’aventurer sur des territoires inconnus, changer de style, de forme... Faire de l’écriture un véritable laboratoire d’expériences pour tenter, en toute sécurité, de nouvelles sensations et de nouvelles choses.

    Je crois que c’est moi qui ai lancé l’idée de la fable écologique dans un monde post apocalyptique. J’avais prêté à Koe mon exemplaire de Mad Max 2 il y avait peu, et j’ai toujours adoré les méconnues Chroniques de l’Ere Xenozoique de Mark Schultz. Donc forcément, j’ai tout de suite fait une association d’idées : Post apocalytique ? Les personnages s’appelleront Max et Hannah en hommage à Max Rockatansky et à Hannah Dundee des deux œuvres sus citées.



    Après avoir décidé que ce serait la fille qui serait la baroudeuse, histoire que ce ne soient pas toujours les mecs qui aient le beau rôle du ténébreux aventurier, il a fallu réfléchir à la trame générale de l’histoire. Max serait un jardinier un peu couillon dans un monde où il n’y a plus de plantes et Hannah une sorte de trafiquante de végétaux. Alors ça a commencé à partir dans tous les sens... Jusqu’au moment où (folle que je suis) je lance mon idée, que sur le moment je trouvais génialissime : Et si c’étaient en fait les bombes nucléaires qui avaient détruit la planète qui prenaient racine dans le sol pour faire développer une plante unique aux vertus extraordinaires : feuilles qui absorberaient la pollution et rejetteraient un oxygène d’une pureté absolue, fruits aux capacités nutritives parfaites, sève qui guérit, écorce auto régénérative... Et c’est là que le drame s’est produit. Koe m’a dit : « c’est toi qui fera les illustrations hein ? »
    Et d’un coup ma super bombe tubercule qui germe dans tous les sens comme une pomme de terre m’est apparue nettement moins séduisante. Ca m’apprendra à avoir des idées à la noix !

    Nous avons dû écrire le plan de la nouvelle en deux heures dans nos transats, entre deux gorgées de Schweppes agrumes. Koe était motivée à fond. Pour que le travail se déroule véritablement à deux, vu que j’avais lancé la plupart des idées extravagantes de la nouvelle, je propose à Koe de commencer la rédaction et de m’envoyer ensuite sa mouture pour que je puisse la corriger.
    Koe avait également à charge de créer les personnages et de me les faire passer pour que je puisse les retoucher afin que nos deux griffes se voient sur les Sims. Eux aussi devaient être le fruit d’un travail à deux, étant  donné que j’allais être seule pour réaliser les images.

    Ca n’a pas trainé. Le soir même j’avais les personnages et le lendemain la première page avec l’arrivée d’Hannah chez Luigi.
    Je retouche légèrement Hannah qui était blonde aux yeux bleus au départ et à qui j’ai finalement mis des yeux bruns pour faire un peu moins cliché.



    Luigi n’a subi aucune retouche sur son visage, je lui ai juste mis des cheveux longs, un bandeau sur l’œil, des fringues de cuir, une cataracte et des balafres, histoire qu’il ait la sale trogne des méchants des films post apocalyptiques à la Mad Max ou Waterworld.



    En publiant l’image de sa présentation, mon homme me dit : « Mais tu as fait Snake Plissken ! » (Kurt Russell dans New York 1997 et Los Angeles 2013, dont le personnage a inspiré directement le héros de la série de jeux vidéos d’Hideo Kojima : Metal Gear Solid). Et c’était vrai ! Surtout que j’ai reçu plusieurs avis dans le même sens sur les différents sites où j’avais pu poster l’image : « mais c’est Snake ! » « Oh Snake Plissken ! » « T’as simsisé Kurt Russell ? »



    Ce qui a posé un souci...
    Eh oui que voulez-vous... Avec Koe on est deux trentenaires... Les petits minets tout lisses qui ont rien vu, rien vécu ça ne nous inspire pas du tout. Et comble du malheur c’était précisément ce que dégageait Max (en plus d’une forte ressemblance avec Mick Jagger que j’ai accentuée malgré moi, alors que Koe m’avait dit : « essaye de l’atténuer »).



    Ce pauvre Max à côté de Luigi était une espèce de fadasse, bellâtre sans odeur et sans saveur qui ne nous intéressait ni l’une ni l’autre. Alors que Luigi ! Oh my god, Luigi c’était plutôt le gars sexy de la mort qui nourrissait les fantasmes des braves vieilles que nous sommes dans le monde  des Sims !
    On était bien embêtées. Max, c’était le héros. On a même pensé à le gicler sans ménagement pour finalement faire de Luigi le héros... Mais vue la personnalité de Luigi et le plan de la nouvelle c’était très difficilement modifiable. On s’est alors dit : « Bah on verra si on arrive à faire un truc du « piège à minettes » qui nous excite pas un brin. » Et puis nos lectrices sont souvent jeunes, elles vont préférer le beau gosse à notre borgne à cataracte (qui devait plus y voir grand-chose au passage).

    En voyant les images de présentation (surtout celle de Luigi, vous l’aurez compris), Koe était encore plus à fond (si la chose était possible). Elle s’est lancée dans une vague d’écriture dingue en mettant un background fort à ce Luigi qui continuait à prendre une importance folle et une consistance énorme par rapport à notre Max, toujours aussi Tupperware derrière ses yeux bleus ! La relation avec Hannah devenait même ambiguë (OK, ça c’était un peu de ma faute et un peu moi qui l’avait rajouté, mais bon après je l’ai enlevé !!!).
    Et puis il a bien fallu y arriver à Max... Koe avait bien avancé sur toute la première partie avant la rencontre, et elle m’avait attendue pour la suite.

    Retour dans le jardin, les transats et le Schweppes agrumes.
    Max n’avait pour nous aucun intérêt. On n’avait même pas envie de le traiter ce personnage. Tout ce dont j’avais envie, de mon côté, c’était de me payer sa tête tellement il paraissait inconsistant à côté de Luigi.
    C’est là que Ti Lu a fait une  bêtise dans le jardin avec sa piscine gonflable ou ses quilles, je ne sais plus. Et pendant que Koe était partie rétablir la situation avec son fils, j’ai pris l’ordi. On en était à :


    Elle sursauta, rouge de honte. Un jardinier d'une trentaine d'années la toisait avec amusement. Mignon. Bellâtre, rectifia-t-elle.
    « Elles vous vident les boyaux en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! »
    L'inconnu éclata de rire.
    -Vous trouvez ça drôle ?
    - Très.


    Et là, agacée par sa tête de Monsieur parfait je rajoute pour me marrer :


    Ouais, non, en fait fadasse et sans aucun intérêt, se ravisa-t-elle. Comme si elle lui avait demandé son avis à ce piège à minettes.


    Koe revient et s’écroule de rire en voyant la phrase (étant donné qu’elle n’en pensait pas moins). Et donc c’est sur un fou rire qu’on a commencé à partir dans un délire total dans lequel Max avait un caractère de petit con.
    J’avoue que j’ai écrit la quasi-totalité des dialogues entre Hannah et Max lors de la rencontre jusqu’au départ pour le site du bunker. Koe était morte de rire. Et j’en rajoutais sur le « piège à minettes », « le fadasse », le côté « petit merdeux sûr de lui ».
    En théorie, c’est là que normalement, après avoir bien rigolé, on sélectionne toutes nos conneries, et on appuie sur la touche « suppr » en disant un truc de circonstance, genre : « bon allez, on passe aux choses sérieuses ». Eh oui. Enfin, on n’est pas très normales avec Koe. Et là, au lieu de faire ce que la plupart des gens auraient fait, on s’est tassées dans nos transats en regardant l’écran du portable et Koe a lancé : « Ben voilà, il est moins fadasse soudain le Max ! »
    Du coup le soir, Koe a enchainé sur le passage de la randonnée à deux dans les montagnes et y est aussi allée de bon cœur sur le bellâtre qui fait de l’autodérision, voire même carrément du cynisme !

    Finalement Max nous aura tellement fait marrer, qu’il a fini par reprendre sa place dans l’histoire, et Luigi la sienne. Non que nous ayons commencé à fantasmer sur Max, loin de là, mais son caractère nous amusait beaucoup plus. Du coup, plus de frustration sur le fait que le sexy Luigi reste le méchant de l’histoire.

    Cet aspect résolu, il me restait quand même à moi une tâche assez énorme à accomplir : les images. Certes les personnages ont été faits à deux, mais les trucages, les prises de vues, on peut difficilement les faire entièrement à deux. Koe préférait que ce soit moi qui gère cette partie (on la comprend quand on repense à ma bombe tubercule qui germe partout avec des racines dans tous les coins, même si Koe m’a rajouté le masque à gaz tout innocemment au passage car elle non plus n’est pas à cours d’idées tordues, surtout quand c’est pas elle qui fait les images *tousse*). L’avantage que j’avais c’était que, comme on écrivait par scènes, et qu’on s’envoyait les extraits pour corrections, ajouts éventuels etc, je planifiais les images à chaque nouveau morceau de texte reçu et je les réalisais au fur et à mesure. Résultat, les images et l’écriture de la nouvelle ont été finis en même temps !
    Depuis les Compagnons de l’Arc-en-Ciel, j’ai beaucoup moins envie de faire des décors dans le jeu. J’ai géré plus de 500 images avec près de 400 décors différents dans cette histoire, car j’avais pris le parti de faire une image – un décor. Jusqu’à me dégouter de faire des décors Sims. Et puis bon, en toute honnêteté, je n’ai pas encore trouvé de créateur aussi vicieux que moi qui fasse une bombe nucléaire Sims qui germe comme une pomme de terre de tous les côtés. Je garde le monopole de certaines idées de l’espace intersidéral quand même ! Je savais donc que, pour cette image là, j’aurais besoin de photomontages. J’avais acheté également, il y a quelques mois, de nombreux fonds de Folkvangar ou Sveva sur le site Renderosity et je me suis dit que c’était justement l’occasion de les utiliser. Comme j’aime bien avoir une certaine unité dans les images d’une histoire, j’ai choisi, pour cette nouvelle, de travailler à la façon des Blockbusters américains : sur fond bleu !
    Tout est donc réalisé par photomontage en utilisant des images de Renderosity, Deviantart ou FlickR. Les prises de vues, poses et expressions des Sims étaient réalisées sur fond bleu, ainsi que quelques éléments de déco que je pouvais ajouter aussi sur le fond pour le personnaliser davantage.



    Ne croyez surtout pas que cette méthode soit une solution de facilité ! Certes le temps que l’on gagne à ne pas construire de décor dans le jeu, on le perd au niveau des trucages, car pour que l’illusion et l’harmonie soit totale dans l’image il en faut des heures de trucages sur les fonds, les personnages, des modifications de lumière et de couleurs afin que tout s’accorde ensemble et soit perçu comme une image entière et non comme un découpage d’éléments assemblés ensembles. Surtout que (on est tordue ou on ne l’est pas), je choisis précisément des images de nuit pour réaliser des plans de jour, donc je ne sais pas si vous imaginez le travail de couleur qui a pu être mis derrière pour obtenir le résultat ...



    Par contre l’avantage de cette méthode permet de jouer très facilement sur les focales et les plans de l’image. Tout étant séparé et découpé à la base, il devient très rapide et facile de créer des zones de flou progressives sur les éléments pour attirer l’œil sur un détail net. Comme une véritable prise de vue avec un appareil photo, où le point est fait sur un objet précis dans l’image.

    Il n’y a que 3 images dont je ne connais pas la provenance exacte et dont je suis incapable de créditer les auteurs, car elles étaient présentes sur plusieurs blogs, ou sites sur le web, tant et si bien qu’il est difficile de savoir qui possède vraiment la source originelle sur son site. Je m’excuse auprès des auteurs de ces images s’ils les passaient dans le coin de n’avoir pu les créditer.
    Toutes les autres images proviennent des stocks libres de Deviantart, de Flickr, de la partie payante de Renderosity ou de la partie gratuite du même site.

     

     


    C’était la première fois depuis que j’écris des histoires dans le monde des Sims que je signais toutes mes images. Paradoxal me direz vous, vu que les fonds ne sont pas de moi. Peut être en effet, mais je ne les ai pas signées pour m’approprier les fonds des auteurs qui ont tous été crédités, et qui ont eu les liens pour accéder aux images et regarder le travail réalisé avec leur stock, mais plutôt contre certaines personnes du monde sims qui parfois reprennent telles quelles des images sur leurs blogs en ne créditant personne, et pire, en faisant croire qu’ils ont tout fait ! Je me rappelle du pillage des images de ma nouvelle « Tu étais... » où la voleuse non seulement n’avait pas crédité la source des photographies, mais pire avait écrit tout un blabla larmoyant à ses lecteurs pour dire : « j’arrête cette histoire, mon frère à effacé mes quartiers sims de mon ordinateur, j’ai perdu la simsette de l'histoire. » Ce qui était particulièrement culotté dans le genre, vu que la simsette elle ne l’avait jamais eue dans son jeu.

    Donc bref, je m’étale, je m’étale.
    Voilà en gros la genèse de cette aventure et comment elle a été réalisée.
    En espérant que vous avez pris plaisir à lire cette histoire et qu’elle vous aura donné envie de découvrir, ou de redécouvrir les nombreuses sources qui ont pu l’inspirer !

    Passez de belles vacances pour ceux qui en ont et surement à bientôt ici ou ailleurs pour de nouvelles aventures !


    Lindsay Dole - Link

     

    « Requiem pour un tombeur02 »

  • Commentaires

    1
    Samedi 31 Juillet 2010 à 17:49
    Trop excellent XD Rahlala moi aussi je veux faire une nouvelle avec vous ! Surtout quand on voit ce que ça donne, ça fait envie XDD
    2
    Klaus*
    Samedi 31 Juillet 2010 à 18:04
    Mais... mais je ne suis pas "vieille" comme vous dîtes mais j'aime vraiment Luigi <3. J'crois bien que je l'avais même dis sur Il était une fois !! En même temps... c'est peut être à cause de ses blessures de guerres et de son style que je l'aime (le petit côté streampunk c'est mon truc *-*). J'aime beaucoup le personnage d'Hannah, enfin une histoire avec un femme qui a du caractère <3. Non vraiment je me répète mais cette histoire c'est un vrai coup de coeur là, tout les thèmes traités m'ont plu ! Vous avez su concentrer tout ce que j'aime dans une seule et même nouvelle, c'était un vraim bonheure pour les yeux aussi bien pour l'écriture que les images (qui sont vraiment très bien travaillé). Donc merci à vous deux, & bonne continuation !
    3
    Samedi 31 Juillet 2010 à 18:24
    Quand tu veux Naya, même si je m'interroge beaucoup sur le résultat d'un Sims Linkoenaya ! Kawaii couvert de balafres !!!! Eh bien, que d'enthousiasme, Klaus* ! Ça fait plaisir à lire ! Et plaisir aussi de voir des jeunes aimer des personnages un peu rugueux comme Luigi ! Link
    4
    Koelia
    Samedi 31 Juillet 2010 à 18:27
    Naya, quand tu veux!!! Link: trop bien ces bonus: j'adore que tu aies aussi crédité Schweppes agrumes, notre drogue rafraîchissante!!! Ainsi que TiLu, le petit monstre qui te permettait d'écrire plein d'horreurs entre Max et hannah pendant que je l'engueulais!!!
    5
    Samedi 31 Juillet 2010 à 18:32
    Bah oui ! Hommage aux sources d'inspiration tout de même : le Schweppes pour s'irriguer le cerveau, Ti Lu pour se venger et dire plein de méchancetés sur l'ordi ! Link
    6
    Juliannews
    Dimanche 1er Août 2010 à 11:10
    Mel Gibson était vraiment beau dans Mad Max (rien à voir avec la nouvelle, je sais, mais revoir ces photos me rafraichient la mémoire, et il faut l'avouer, ce gars était beau)
    7
    SheZeve
    Lundi 2 Août 2010 à 00:04
    Ah mais je découvre que vous étiez "physiquement" ensemble ! Ca devait être trop tordant vos (votre?) aprem écriture xD J'aime beaucoup les anecdotes, les références et le "avant-après" concernant les images. Je le redis : vous avez fait un travail remarquable !
    8
    Lundi 2 Août 2010 à 09:33
    Ah oui, oui, on a vraiment fait cette histoire à deux, plus souvent ensemble sur le même ordinateur (à part les images que j'ai fait toute seule sur le mien); qu'à s'envoyer des mails. Justement c'est aussi pour ça que c'est entièrement fait à deux ! Si je me levais pour aller chercher quelques chose, Koe poursuivait, si Koe partait à son tour, j'écrivais la suite. C'est vraiment tressé l'une avec l'autre ! Merci beaucoup SheZ ! Link
    9
    Isis
    Lundi 2 Août 2010 à 13:40
    Ah, tout ça m'a donné envie de revoir les Mad Max (je ne m'en souviens plus, mais je sais que j'avais adoré). Je le répète, excellent travail. Et c'est sympa de voir comment à germer cette histoire. J'ai adoré l'écriture, les images, les personnages. Et bien que je n'apprécie pas forcément Luigi, du moins pour ce qu'il a fait aux pauvres arbres, je meurs d'en savoir plus sur lui. Son personnage est vraiment intrigant, et il a un visage des plus intéressants ! Enfin, je blablate là. Pour conclure, bravo à vous deux ! Ca donne envie de tenter le travail à plusieurs mains.
    10
    Lundi 2 Août 2010 à 17:25
    Merci beaucoup Isis, ravie que tu sois rentrée dans notre délire estival ! Link
    11
    simorette
    Lundi 2 Août 2010 à 19:41
    très intéressant et très instructif cette visite backstage !!! c'est presque dommage que tu n'aies pas gardé le passage ambigü entre Luigi et Hannah... c'est marrant mais comme Isis (quand tu as présenté Max) j'ai revisionné Mad Max II !!! enfin bref, chapeau bas les filles !!! j'ai adoré lire votre nouvelle !!!
    12
    Lundi 2 Août 2010 à 19:57
    C'est à dire que le passage ambigu venait au début de l'histoire, il aurait fallu le développer, pour le casser faire des scènes en plus, des épisodes en plus des images en plus, et je pense que ni Koe ni moi n'avions envie de nous lancer dans un projet long... Link
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