• Ecrire une nouvelle collective demande pas mal de travail en amont... De partages... Et d’échanges ! C’est un travail lourd, certes, mais tellement excitant. J’ai éprouvé un plaisir fou à réaliser cette (ces) nouvelles avec les copines. Je dis « ces », même si je n’en ai écrit qu’une, car il y a malgré tout de mes textes, de mes répliques et de moi dans les nouvelles de toutes les autres.

    Pour commencer cette série de bonus, je voulais partager avec vous les chansons que j’ai écoutées en boucle pendant certaines phases d’écriture et qui m’ont inspiré les moments les plus importants de la vie de Cassie :

    A la fac
    Les cactus – Jacques Dutronc

    Chez l’éditrice de Coriolan
    Maria – Blondie

    Lorsqu’elle fait se rencontrer (malgré elle) Nigel et Kaya
    A nos actes manqués – Jean-Jacques Goldman

    Dans la cave au moment des révélations entre Cassandre et Coriolan
    Save Tonight – Eagle Eye Cherry

    Et bien sûr :
    Fly me to the moon – Frank Sinatra


    Le passage est d’ailleurs une réelle écriture collective vu que le dialogue a entièrement été construit à deux avec Parthénia. Elle a écrit toutes les répliques de Coriolan et j’ai donc rédigé celles de Cassandre. C’était très drôle à faire, car on ne savait pas du tout à l’avance comment l’autre allait réagir sur ce qui se disait et il y a eu une réelle part d’improvisation très amusante à faire dans cette scène. On était quasi dans le jeu de rôle lors de sa construction. On essayait de ne montrer que l’essentiel des émotions de nos personnages, ou uniquement ce que l’on voulait que l’autre voit de lui, pour pouvoir ensuite reprendre à notre sauce la scène à travers les yeux de chacun d’entre eux. Avec tout ce que cela peut impliquer d’interprétation, de pensées, de fantasmes et toutes les déformations classiques que l’on peut s’imaginer trouver dans la parole de l’autre.

    Pour ce gros projet collectif j’ai réalisé 5 décors que j’ai partagé ensuite avec mes collègues pour que nous puissions être raccord niveau images dans nos histoires.

    J’ai été chargée de créer le fameux café des parents de Vicky, la place et la rue alentour, que vous retrouverez dans bon nombre des autres nouvelles :




    Sur ce même terrain pour des raisons pratiques j’ai également réalisé l’appartement de Cassandre en travaux qui nous sert principalement à zohus et moi-même
     

    Parthénia a préféré que ce soit moi qui crée le décor de la cave et du bureau de l’éditrice, décors qui ne servent en effet qu’aux nouvelles de Cassandre et Coriolan et que j’ai donc construit sur un terrain à part.
    Notez les petites annotations partout pour qu’on soit raccord sur les positions des personnages dans la pièce...

    Voici donc un plan général du terrain
     

    Un plan de l’entrée de la maison d’édition
     

    Et quelques images de l’entrée elle-même
     

     

     

    Quelques images du bureau d’Adèle
     

     

     

     

    Même si j’ai crée seule ces décors (forcément), j’ai suivi les indications et instructions de Parthénia qui avait une idée assez précise de l’ensemble, surtout depuis que je lui avais envoyé la simsette destinée à tenir le rôle de l’éditrice. Elle m’avait demandé un bureau en bordel (d’où les annotations bordel et plus de bordel) et moi je voyais bien un ensemble qui sente la vieille fille et le vieux cigare.
    Voilà donc le résultat du mélange.

    Et enfin donc la cave de la salle des fêtes :
     

    Un détail amusant à noter, nous avons été jusqu’à partager des images ! En effet, l’image où Azra surprend la fin du dialogue dans la cave a été réalisée par moi-même. Nous avons trouvé amusant avec Koelia de la réutiliser en jouant sur les flous pour exprimer les deux points de vue différents. Ainsi vous avez Azra net en premier plan dans la nouvelle de Koelia, et le flou sur Cassandre et Coriolan (C&C comme nous nous amusions à les appeler entre nous). Azra assiste donc à la fin de la scène, mais passe très rapidement, et ne reconnait que les deux voix. Et C&C nets / Azra flou dans la mienne. C&C sont tellement dans leur truc, qu’ils ne voient pas passer Azra et n’entendent rien. D’ailleurs Coriolan remarque par hasard que la porte est ouverte, mais n’a aucune idée du comment cela s’est produit....

    Pour terminer cette liste de bonus de la nouvelle de Cassandre, dont vous retrouverez certains éléments dans celles des copines en général, et de Coriolan en particulier, je vous offre en téléchargement, l’éditrice de Coriolan Galen.
    Simsette créée par moi-même et baptisée Adèle Cormon par Parthénia (ouais le travail de groupe a été jusque là !!!). Elle nous a tellement faite rire toutes les deux quand on l’a échangée que je me suis dit que ça serait sympa qu’elle vous fasse rire aussi dans votre jeu !

     

    Télécharger Adèle

     

     


    16 commentaires

  •  

    Bonjour à toutes et tous,


    Je fais un petit encart sur le blog pour vous annoncer,  avec un immense plaisir, la sortie de mon tout
    premier livre Les Compagnons de l'Arc-en-Ciel, sur le site
    the book edition, au prix de 22 euros.


    Avant de vous donner toutes les caractéristiques de l'ouvrage, je tiens d'abord à  vous remercier vous, mes lecteurs, qui n'ont jamais désespéré qu'une sortie papier existe un jour pour mes récits. Je remercie toutes celles et ceux qui se sont manifestés pour m'encourager à  tenter une nouvelle fois ma chance pour voir un jour mes romans exister physiquement entre vos mains, et plus particulièrement auprès de Phannette alias Scriibouille qui m'a fait connaître le site de the book edition.


    Le texte y est publié, pour des questions de droit, sans les images sims, uniquement avec les dessins à l'encre que j'avais réalisés pour l'ouvrage entre 1996 et 1998... Pour des questions de droit, mais aussi des questions de coût : publier le livre avec plus de 500 illustrations couleur ne serait pas revenu au même prix du tout, et une question de pagination : rien que le texte avec les 10 illustrations à l'encre en font un roman de 431 pages ! Il aurait donc aussi fallu publier en plusieurs tomes, ce qui au final aurait couté beaucoup plus cher.



    A l'occasion de cette sortie, j'ai crée deux pages sur facebook.


    Une page fan tout d'abord sur laquelle vous trouverez :

    • quelques illustrations présentes dans le livre
    • deux extraits du roman
    • les liens pour accéder Ãà la page de vente du roman

    Vous avez la possibilité de


      •  partager cette page sur votre facebook et faire connaître le livre à tous vos contacts

      • laisser des commentaires

      • donner vos avis

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    FAN


     


    Une page événement sur laquelle vous pouvez :


      • annoncer si vous souhaitez ou non participer à  l'événement de la publication du roman

      • commenter l'événement

      • partager l'événement avec tous vos contacts pour faire connaitre le livre

    CLIQUEZ ICI POUR
    ACCEDER A LA PAGE EVENEMENT



    Dans tous les cas, que vous souhaitiez ou non acheter le livre, n'hésitez pas à  partager ces pages et à  les faire tourner. Peut être que parmi vos contacts, certains amis seraient intéressés par le livre !


    La sortie du livre coincide avec les fêtes de fin d'année, aussi je profite de cet article pour vous poster deux messages :


    - Passez d'excellentes fêtes de fin d'année et tous mes voeux pour la prochaine à venir..


    - Si vous aviez une panne d'idée cadeau, pensez à  Stella et Horizon ! {#}


     


    Une grosse pensée pour vous tous ! {#}

     

    Link




     



    Le livre Les Compagnons de l'Arc-en-Ciel

     Les
    Compagnons 


    de l'Arc-en-Ciel


     


    Auteur : Link


    Illustrateur : Link


     


    - Format
    ExLibris
    (14,8x21 cm)


    - 431 pages


    - 10 illustrations


    en noir et blanc à l'encre de Chine


    - Couverture par Link


    - Texte intégral


    - Prix : 22 € TTC


    (hors frais de port 2,97 €)


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     Vous pouvez
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  • Voilà des mois que j'attendais que Parthénia publie sa nouvelle pour vous proposer tous les bonus que j'avais réalisés pour "In Memoriam", il y a environ un an à présent. Pourquoi ne pas les avoir publiés avant ? Tout simplement parce qu'ils spoilaient la fin de l'histoire, que seules Parthénia et moi connaissions (même les copines de l'Atelier n'étaient pas dans la confidence, mais elles se doutaient plus ou moins du dénouement, on ne les trompe pas si facilement...) {#}

    Cassandre - Coriolan... En voilà une histoire d'amour totalement improbable qui pourtant en est venue à nous tenir tellement à coeur à Parthénia et moi que nous avons sorti les griffes (même à l'encontre des copines de l'Atelier, si si, elles pourront témoigner) pour qu'elle puisse se réaliser.

    L'aventure commence le jeudi 29 janvier 2009 sur le défunt forum Critisims. J'avais présenté alors un Sims Tupperware, comme j'aime à les appeler : Cassandre.

    Qu'est-ce qu'un Sims Tupperware (terme qui est devenu récurrent parmi les membres de l'Atelier), c'est un Sims vide, creux et sans âme. Un sims crée pour être livré à un concours ou à de la figuration, auquel on ne s'est pas attaché et qui fait juste office de remplissage dans le décor. Vide comme une boîte tupperware, et qui attend d'être remplie de tout et n'importe quoi. Mais bon, en attendant elle est rangée dans le placard avec les autres tupperwares, et sert pas à grand chose.

    Parallèlement, Parthénia publiait son candidat pour la section Mister du même forum : Coriolan.

     

    Immédiatement, la quasi totalité du groupe de l'Atelier tombe amoureuse de Coriolan. SheZeve, Zohus, enfin bon je ne vais pas citer tout le monde. Et des MP fusent dans tous les coins à l'insu des unes et des autres pour marier nos créatures à ce bellâtre au regard animal. {#}

    Je me rappelle encore de ce MP que j'avais envoyé à Parthénia : Cassandre est tombée folle amoureuse de Coriolan, elle rêverait d'un rendez-vous avec lui. Enthousiaste, Parthénia avait été très flattée pour Corio, et m'avait alors envoyé le spécimen afin de pouvoir réaliser le rendez-vous dans mon jeu... Evidemment je lui échangeais Cassandre pour qu'elle puisse également faire de même si elle le souhaitait.

    Fière de moi, je décidais de narguer toutes mes concurrentes avec une image pour enfin affirmer que j'avais gagné le beau Corio :

    Et c'est évidemment là que je découvre que Zohus se venge en publiant des images compromettantes de Corio avec sa Daphné et me nargue elle aussi ouvertement ! (J'espère que zohus publiera ses images pour compléter mon article).

    Mais c'était sans compter l'intervention providentielle de la mère de Corio : Parthénia, qui trouvait Cassie et Corio si mignons, qu'il fallait les laisser ensemble. Je vous passe le nombre de coeurs brisés dans l'Atelier... Et j'enchaine avec la série d'images que m'avait alors inspirée cette petite victoire, qui, jusqu'à présent, n'est qu'un vaste champ de gamineries qui nous avait bien fait marrer et qui n'avait aucun rapport de près ou de loin avec la Nouvelle Collective à l'époque.

    Images à travers lesquels le côté bohème de Cassandre ressort très nettement, même si elle n'était encore qu'un grand tupperware très vide à l'époque.

    Puis, vers le mois de mars, voilà que zohus nous propose ce projet inédit : et si on prenait nos candidats Miss et Misters qui nous servent à rien et qu'on réalisait un gigantesque chantier d'écriture : une nouvelle collective ! Nous aurions chacune une plage réservée à notre style, à nos personnages, avec une trame commune que nous devrions respecter pour garder un fil rouge. Nous avons toutes été emballées par le projet. Elros, mon candidat Mister ayant déjà trouvé une place dans son univers steampunk, il me restait donc Cassandre à développer pour le projet. Parthénia aurait pu choisir sa candidate, mais finalement elle avait choisi Coriolan, et après une hésitation de scénario (entre Parthénia et moi) pour savoir si Corio et Cassie étaient déjà ensemble dans la nouvelle, nous avons pris le parti de dire que non et de décrire donc comment leur couple s'était formé.

    Je ne dévoilerai évidemment rien des autres trames qui sont définies par paires afin de vous laisser la surprise si ces autres nouvelles voient un jour le jour, mais sachez donc qu'à part Azra, qui avait la lourde tâche de poser la trame générale de l'histoire, et d'en souligner tous les éléments et rapports qui devaient être développés dans les autres histoires, sans qu'il ne comprennent rien aux évènements autour de lui, il était le seul à être tout seul ! Tous les autres personnages étaient liés deux par deux pour montrer à chaque fois les mêmes évènements d'un point de vue différent.

    J'envoie donc à mes consoeurs une fiche concernant le personnage de Cassandre pour qu'elles puissent s'appuyer dessus afin d'utiliser le personnage dans leur nouvelle et que l'ensemble reste toujours cohérent :

    Prénom, nom : Cassandre Parlanti
    Age : 30 ans.
    Nationalité : Franco- Italienne (née à Naples).
    Profession : Dessinatrice / illustratrice de livres pour enfants
    Style vestimentaire : Bohème, très accessoirisée (bracelets, superposition de colliers, mais également fanatique des accessoires originaux : chapeaux, bérets, gants et mitaines de dentelle)
    Plat préféré : Salade de Surimi (ouais elle fait attention à sa ligne)
    Goûts musicaux : Pop et classique
    Particularité(s) utiles (ou pas) à l'histoire : Bordélique (on s'en serait pas douté), a une attirance pour les objets Hindous et Bouddhistes en particulier (elle est bouddhiste, ça aussi on s'en serait pas douté). A voyagé plusieurs fois à Lhassa, en Chine, Hong Kong et en Asie d'une façon générale...
    Principaux traits de caractère (qualités/défauts) : gaie, spontanée, ouverte. A tendance à être tête en l'air, aucune mémoire immédiate, aucune mémoire physiologique, elle vit au jour le jour, minute par minute et ne fait jamais de plan à l'avance. Peu organisée, douée dans son domaine, elle fait des choses merveilleuses mais toujours dans l'urgence et parfois même avec retard.
    Plutôt pacifiste (ouais vu ses croyances, sans blague ?), est plutôt dans l'évitement du conflit. Cela peut d'ailleurs passer aux yeux des autres pour du laxisme, le fait que parfois elle préfère renoncer plutôt que de se battre. Mais si elle peut aussi savoir sortir ses griffes dans certaines situations personnelles et faire montre d'une volonté affirmée (surtout dans le domaine professionnel).
    D'une grande générosité, elle peut donner énormément à ceux qu'elle aime, mais il suffit que l'on trahisse une fois sa confiance pour que celle-ci soit définitivement perdue. Elle n'exige jamais des autres ce qu'elle ne fait elle même (le problème c'est qu'elle n'a pas conscience qu'elle est capable de beaucoup de choses, et parfois, il peut s'avérer qu'elle en demande un peu trop aux autres sans s'en rendre compte).
    Amoureuse de la vie, des expériences, elle aime tester, apprendre et réaliser de nouvelles choses. Elle aime les rencontres car elle apprend énormément à travers les autres, et s'enrichit en écoutant et en puisant dans l'expérience de ceux qui l'entourent ou qui croisent sa route.
    C'est le genre de filles cool qui a tendance à s'entendre mieux avec les mecs qu'avec les filles. Elle est un peu l'éternelle bonne copine des gars, qui adorent sa compagnie sans jamais pour autant vouloir aller plus loin, et elle rend malgré elle toutes les filles hystériques car elles se persuadent qu'elle cherche à leur piquer leur mec à être aussi sympa avec.
    Elle attend le grand amour. Elle ne sait pas quand il viendra, mais une chose est certaine, ce sera le seul dont elle n'oubliera jamais le visage. Où qu'il soit, où qu'elle aille, à chaque fois qu'elle le recroisera, elle saura toujours le reconnaitre sans jamais se poser de question (comme avec les autres où c'est... hmmmm je l'ai déjà vu celui là, c'est qui déjà ?)
    Expression(s) souvent employée(s) : "En même temps..." "Je veux mourir" "sérieux ?" "Bordel à queue de dieux orgiaques en rut !" (surtout quand elle aperçoit Coriolan au loin quelque part)

    Je profite bien sûr de cette photo d'identité pour créer une nouvelle image de Cassie et Corio dans le jardin d'hiver de la maison de Cassandre :

    Et je complète cette fiche avec quelques images de Cassandre à différents âges :

    Dont une que vous n'avez jamais vue et que vous verrez peut être un jour, si la suite des nouvelles se publie sur le blog. Cassandre un an après le départ de son père, ravagée et rebelle, sans pouvoir cacher sa douceur naturelle malgré tout, à 14 ans :


    L'écriture de cet amour nous inspire énormément Parthénia et moi. Nous avons beaucoup collaboré tout au long de cette phase de travail pour faire réagir les personnages à bon escient, nous avons même co-écrit entièrement la scène de la cave. J'écrivais un paragraphe, elle écrivait la suite, et ainsi de suite... Il y avait des moments où on était bien coincées par l'autre et par les réactions des personnages. C'était très amusant à faire. On ne contrôlait rien et on ne savait absolument pas à l'avance où cette scène allait nous mener. Les instants de déstabilisation de Cassandre et de Coriolan dans cette scène (qui ne figure que dans la nouvelle de Cassandre) étaient plus notre déstabilisation à nous deux en temps qu'auteurs... A chaque fois qu'on lisait le passage publié par l'autre on se disait : merde mais comment il / elle va s'en sortir là ! C'est over vache !!!!

    Mais nous nous sommes énormément attachées à ce couple toutes les deux, et toutes les filles de l'Atelier avec nous. Même zohus et SheZ qui étaient à fond pour enfermer Corio et l'enchainer à un poteau pour elles toutes seules ont fini par s'amouracher de ce couple étonnant, décalé et hors normes. Beaucoup d'images romantiques des amoureux ont suivi tout au long de l'écriture. Emportées par la beauté des deux personnages qui nous attendrissaient tellement.

    Parthénia en avait également réalisé de son côté et j'espère qu'elle les mettra en ligne avec ses bonus aussi.

    Sans oublier des petits clins d'oeil à Daphné, qui donc tient le rôle de la maîtresse de Corio dans une scène présente chez Cassandre et chez Coriolan. Hommage à zohus, si bonne perdante ! (Rassurez-vous, Daphné a depuis trouvé l'âme soeur auprés d'un autre Sims de Parthénia d'ailleurs. Et celui là, elle l'a eu pour elle toute seule !)

    L'histoire du départ du père de Cassandre est inspiré d'une histoire vraie. Vécu par une ancienne amie. Une histoire qui m'avait beaucoup touchée et j'ai continué à réaliser d'autres images de cette phase difficile qui rendait Cassandre tellement plus humaine et moins superficielle.

    Cette image, notamment, avait été réalisée dans l'optique d'une scène qui devait apparaître lors d'un flashback de Coriolan et qui n'avait pas été retenue par Parthénia au final. C'était le lendemain du départ de son père. Le jour où elle a commencé à fumer.

    Seule sur son banc, elle pleurait. Elle avait 13 ans. Et puis il y avait eu ces deux garçons, un peu plus âgés qu'elle, mais adolescents eux aussi. L'un d'entre eux n'avait pas supporté de la voir pleurer et lui avait adressé de gentils mots de consolation. Parce qu'il ne tolérait pas autant de larmes dans les yeux d'une aussi jolie fille. Il avait ensuite juste effleuré ses lèvres d'un baiser avant de disparaitre.

    C'était le premier baiser de Cassandre.

    Les deux garçons étaient Azra et Coriolan. Il s'agissait donc là véritablement de leur toute première rencontre. Evidemment c'était Coriolan qui l'avait consolé, encore pur et non massacré à son tour par sa mère...

    Et la suite logique de notre emballement à Parthénia et moi même fut cette image :

    simplement baptisée Sacha.

    A ce moment là personne dans l'Atelier ne soupçonnait que Corio et Cassandre allaient être une vraie histoire d'amour qui allait vraiment durer. J'avais montré cette image sans rien dire. Juste Sacha. Mais on ne trompe pas zohus qui tout de suite bondit en s'exclamant : Cassandre et Coriolan nous ont fait un rejeton ! Et se venge bien sûr de la précédente injustice faite à Daphné en adoptant illico le mâle ! Mais je n'en dirai pas plus à ce sujet, car peut être que d'autres surprises pourraient vous attendre avec ce beau Sacha.

    Naturellement à peine je présente Sacha Galen, que Parthénia avoue qu'elle aussi avait tenté de faire faire des rejetons à nos petits amoureux, histoire de voir à quoi ils ressembleraient. Mais je lui laisserai le soin de les présenter et d'en parler si elle le souhaitait.

    Ainsi donc se termine notre volet de l'histoire, en tout cas pour Parthénia et moi.

    J'avais envie de vous reparler un peu de Corio et Cassie auxquels je me suis tant attachée et cela m'a fait plaisir de partager ce moment avec vous. J'espère que vous en avez appris davantage aussi de votre côté sur ce que nous avons mis en place avec Parthénia et de notre plaisir à le faire, car ce fut un véritable plaisir de travailler avec elle!

    J'ai hâte, tout comme vous de découvrir maintenant les autres "couples" de la nouvelle... et même si j'en connais les grosses ficelles, c'est le tressage qui m'intéresse, et à ce niveau là, je suis sur le même plan que vous tous, chers lecteurs : dans la totale découverte ! {#}

    Sur ce, bonne après midi à tous et bonnes vacances pour ceux qui ont la chance d'en avoir !

    Link


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  • Tout a commencé sur des chaises longues, dans un jardin, avec un gamin de 4 ans qui allait remplir son pistolet à eau pour nous tirer dessus.
    J’étais motivée pour écrire une nouvelle et me relancer un peu dans l’écriture et l’illustration après la publication de « Requiem pour un tombeur » que j’attendais depuis plus d’un an. La sortie de la nouvelle de Parthénia m’a regonflée à bloc. J’avais envie de soulever des montagnes et de me remettre à écrire. Seule ou à deux.
    Comme souvent, c’est Koelia qui s’est trouvée être la plus réactive pour réaliser un projet à deux. Nous avions déjà collaboré, donc on savait que notre duo fonctionnait plutôt pas mal.
    Mais cette fois j’avais envie de quelque chose d’un peu différent. D’ordinaire, il y en avait une qui écrivait, et l’autre qui illustrait, comme pour Ad Vitam Aeternam,  ou Fusion. Il y avait partenariat mais pas de réelle collaboration. Pour cette nouvelle j’avais vraiment envie de quelque chose d’entièrement fait à deux. Tant au niveau de l’écriture que des personnages.

    L’idée de base n’était pas spontanée. C’est bizarre cette sensation d’avoir envie d’écrire, de le vouloir vraiment. Ecrire oui, mais quoi ? Il y a eu un long moment de silence, une sorte d’angoisse de la page blanche sans la page et sans le stylo.

    Nous avions déjà à notre actif pas mal de choses tristes ou romantiques. Nous avions envie un peu de changer de registre. Avec plus d’humour et pas forcément une histoire d’amour qui se déroule explicitement. En gros, on ne voulait pas de bisous-bisous, mais quelque chose qui serait plus axé autour d’un message et d’une idée forte.

    Nous voulions que ce soit le sujet même de l’histoire qui suscite l’émotion et non pas les relations entre personnages. Les personnages c’est trop facile. Trop évident. Des histoires comme ça on en a écrit des tonnes, l’Atelier et nos blogs personnels en sont remplis. Et ceux qui me connaissent le savent : j’ai horreur de me reposer sur des acquis. Ce que j’aime c’est m’aventurer sur des territoires inconnus, changer de style, de forme... Faire de l’écriture un véritable laboratoire d’expériences pour tenter, en toute sécurité, de nouvelles sensations et de nouvelles choses.

    Je crois que c’est moi qui ai lancé l’idée de la fable écologique dans un monde post apocalyptique. J’avais prêté à Koe mon exemplaire de Mad Max 2 il y avait peu, et j’ai toujours adoré les méconnues Chroniques de l’Ere Xenozoique de Mark Schultz. Donc forcément, j’ai tout de suite fait une association d’idées : Post apocalytique ? Les personnages s’appelleront Max et Hannah en hommage à Max Rockatansky et à Hannah Dundee des deux œuvres sus citées.



    Après avoir décidé que ce serait la fille qui serait la baroudeuse, histoire que ce ne soient pas toujours les mecs qui aient le beau rôle du ténébreux aventurier, il a fallu réfléchir à la trame générale de l’histoire. Max serait un jardinier un peu couillon dans un monde où il n’y a plus de plantes et Hannah une sorte de trafiquante de végétaux. Alors ça a commencé à partir dans tous les sens... Jusqu’au moment où (folle que je suis) je lance mon idée, que sur le moment je trouvais génialissime : Et si c’étaient en fait les bombes nucléaires qui avaient détruit la planète qui prenaient racine dans le sol pour faire développer une plante unique aux vertus extraordinaires : feuilles qui absorberaient la pollution et rejetteraient un oxygène d’une pureté absolue, fruits aux capacités nutritives parfaites, sève qui guérit, écorce auto régénérative... Et c’est là que le drame s’est produit. Koe m’a dit : « c’est toi qui fera les illustrations hein ? »
    Et d’un coup ma super bombe tubercule qui germe dans tous les sens comme une pomme de terre m’est apparue nettement moins séduisante. Ca m’apprendra à avoir des idées à la noix !

    Nous avons dû écrire le plan de la nouvelle en deux heures dans nos transats, entre deux gorgées de Schweppes agrumes. Koe était motivée à fond. Pour que le travail se déroule véritablement à deux, vu que j’avais lancé la plupart des idées extravagantes de la nouvelle, je propose à Koe de commencer la rédaction et de m’envoyer ensuite sa mouture pour que je puisse la corriger.
    Koe avait également à charge de créer les personnages et de me les faire passer pour que je puisse les retoucher afin que nos deux griffes se voient sur les Sims. Eux aussi devaient être le fruit d’un travail à deux, étant  donné que j’allais être seule pour réaliser les images.

    Ca n’a pas trainé. Le soir même j’avais les personnages et le lendemain la première page avec l’arrivée d’Hannah chez Luigi.
    Je retouche légèrement Hannah qui était blonde aux yeux bleus au départ et à qui j’ai finalement mis des yeux bruns pour faire un peu moins cliché.



    Luigi n’a subi aucune retouche sur son visage, je lui ai juste mis des cheveux longs, un bandeau sur l’œil, des fringues de cuir, une cataracte et des balafres, histoire qu’il ait la sale trogne des méchants des films post apocalyptiques à la Mad Max ou Waterworld.



    En publiant l’image de sa présentation, mon homme me dit : « Mais tu as fait Snake Plissken ! » (Kurt Russell dans New York 1997 et Los Angeles 2013, dont le personnage a inspiré directement le héros de la série de jeux vidéos d’Hideo Kojima : Metal Gear Solid). Et c’était vrai ! Surtout que j’ai reçu plusieurs avis dans le même sens sur les différents sites où j’avais pu poster l’image : « mais c’est Snake ! » « Oh Snake Plissken ! » « T’as simsisé Kurt Russell ? »



    Ce qui a posé un souci...
    Eh oui que voulez-vous... Avec Koe on est deux trentenaires... Les petits minets tout lisses qui ont rien vu, rien vécu ça ne nous inspire pas du tout. Et comble du malheur c’était précisément ce que dégageait Max (en plus d’une forte ressemblance avec Mick Jagger que j’ai accentuée malgré moi, alors que Koe m’avait dit : « essaye de l’atténuer »).



    Ce pauvre Max à côté de Luigi était une espèce de fadasse, bellâtre sans odeur et sans saveur qui ne nous intéressait ni l’une ni l’autre. Alors que Luigi ! Oh my god, Luigi c’était plutôt le gars sexy de la mort qui nourrissait les fantasmes des braves vieilles que nous sommes dans le monde  des Sims !
    On était bien embêtées. Max, c’était le héros. On a même pensé à le gicler sans ménagement pour finalement faire de Luigi le héros... Mais vue la personnalité de Luigi et le plan de la nouvelle c’était très difficilement modifiable. On s’est alors dit : « Bah on verra si on arrive à faire un truc du « piège à minettes » qui nous excite pas un brin. » Et puis nos lectrices sont souvent jeunes, elles vont préférer le beau gosse à notre borgne à cataracte (qui devait plus y voir grand-chose au passage).

    En voyant les images de présentation (surtout celle de Luigi, vous l’aurez compris), Koe était encore plus à fond (si la chose était possible). Elle s’est lancée dans une vague d’écriture dingue en mettant un background fort à ce Luigi qui continuait à prendre une importance folle et une consistance énorme par rapport à notre Max, toujours aussi Tupperware derrière ses yeux bleus ! La relation avec Hannah devenait même ambiguë (OK, ça c’était un peu de ma faute et un peu moi qui l’avait rajouté, mais bon après je l’ai enlevé !!!).
    Et puis il a bien fallu y arriver à Max... Koe avait bien avancé sur toute la première partie avant la rencontre, et elle m’avait attendue pour la suite.

    Retour dans le jardin, les transats et le Schweppes agrumes.
    Max n’avait pour nous aucun intérêt. On n’avait même pas envie de le traiter ce personnage. Tout ce dont j’avais envie, de mon côté, c’était de me payer sa tête tellement il paraissait inconsistant à côté de Luigi.
    C’est là que Ti Lu a fait une  bêtise dans le jardin avec sa piscine gonflable ou ses quilles, je ne sais plus. Et pendant que Koe était partie rétablir la situation avec son fils, j’ai pris l’ordi. On en était à :


    Elle sursauta, rouge de honte. Un jardinier d'une trentaine d'années la toisait avec amusement. Mignon. Bellâtre, rectifia-t-elle.
    « Elles vous vident les boyaux en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! »
    L'inconnu éclata de rire.
    -Vous trouvez ça drôle ?
    - Très.


    Et là, agacée par sa tête de Monsieur parfait je rajoute pour me marrer :


    Ouais, non, en fait fadasse et sans aucun intérêt, se ravisa-t-elle. Comme si elle lui avait demandé son avis à ce piège à minettes.


    Koe revient et s’écroule de rire en voyant la phrase (étant donné qu’elle n’en pensait pas moins). Et donc c’est sur un fou rire qu’on a commencé à partir dans un délire total dans lequel Max avait un caractère de petit con.
    J’avoue que j’ai écrit la quasi-totalité des dialogues entre Hannah et Max lors de la rencontre jusqu’au départ pour le site du bunker. Koe était morte de rire. Et j’en rajoutais sur le « piège à minettes », « le fadasse », le côté « petit merdeux sûr de lui ».
    En théorie, c’est là que normalement, après avoir bien rigolé, on sélectionne toutes nos conneries, et on appuie sur la touche « suppr » en disant un truc de circonstance, genre : « bon allez, on passe aux choses sérieuses ». Eh oui. Enfin, on n’est pas très normales avec Koe. Et là, au lieu de faire ce que la plupart des gens auraient fait, on s’est tassées dans nos transats en regardant l’écran du portable et Koe a lancé : « Ben voilà, il est moins fadasse soudain le Max ! »
    Du coup le soir, Koe a enchainé sur le passage de la randonnée à deux dans les montagnes et y est aussi allée de bon cœur sur le bellâtre qui fait de l’autodérision, voire même carrément du cynisme !

    Finalement Max nous aura tellement fait marrer, qu’il a fini par reprendre sa place dans l’histoire, et Luigi la sienne. Non que nous ayons commencé à fantasmer sur Max, loin de là, mais son caractère nous amusait beaucoup plus. Du coup, plus de frustration sur le fait que le sexy Luigi reste le méchant de l’histoire.

    Cet aspect résolu, il me restait quand même à moi une tâche assez énorme à accomplir : les images. Certes les personnages ont été faits à deux, mais les trucages, les prises de vues, on peut difficilement les faire entièrement à deux. Koe préférait que ce soit moi qui gère cette partie (on la comprend quand on repense à ma bombe tubercule qui germe partout avec des racines dans tous les coins, même si Koe m’a rajouté le masque à gaz tout innocemment au passage car elle non plus n’est pas à cours d’idées tordues, surtout quand c’est pas elle qui fait les images *tousse*). L’avantage que j’avais c’était que, comme on écrivait par scènes, et qu’on s’envoyait les extraits pour corrections, ajouts éventuels etc, je planifiais les images à chaque nouveau morceau de texte reçu et je les réalisais au fur et à mesure. Résultat, les images et l’écriture de la nouvelle ont été finis en même temps !
    Depuis les Compagnons de l’Arc-en-Ciel, j’ai beaucoup moins envie de faire des décors dans le jeu. J’ai géré plus de 500 images avec près de 400 décors différents dans cette histoire, car j’avais pris le parti de faire une image – un décor. Jusqu’à me dégouter de faire des décors Sims. Et puis bon, en toute honnêteté, je n’ai pas encore trouvé de créateur aussi vicieux que moi qui fasse une bombe nucléaire Sims qui germe comme une pomme de terre de tous les côtés. Je garde le monopole de certaines idées de l’espace intersidéral quand même ! Je savais donc que, pour cette image là, j’aurais besoin de photomontages. J’avais acheté également, il y a quelques mois, de nombreux fonds de Folkvangar ou Sveva sur le site Renderosity et je me suis dit que c’était justement l’occasion de les utiliser. Comme j’aime bien avoir une certaine unité dans les images d’une histoire, j’ai choisi, pour cette nouvelle, de travailler à la façon des Blockbusters américains : sur fond bleu !
    Tout est donc réalisé par photomontage en utilisant des images de Renderosity, Deviantart ou FlickR. Les prises de vues, poses et expressions des Sims étaient réalisées sur fond bleu, ainsi que quelques éléments de déco que je pouvais ajouter aussi sur le fond pour le personnaliser davantage.



    Ne croyez surtout pas que cette méthode soit une solution de facilité ! Certes le temps que l’on gagne à ne pas construire de décor dans le jeu, on le perd au niveau des trucages, car pour que l’illusion et l’harmonie soit totale dans l’image il en faut des heures de trucages sur les fonds, les personnages, des modifications de lumière et de couleurs afin que tout s’accorde ensemble et soit perçu comme une image entière et non comme un découpage d’éléments assemblés ensembles. Surtout que (on est tordue ou on ne l’est pas), je choisis précisément des images de nuit pour réaliser des plans de jour, donc je ne sais pas si vous imaginez le travail de couleur qui a pu être mis derrière pour obtenir le résultat ...



    Par contre l’avantage de cette méthode permet de jouer très facilement sur les focales et les plans de l’image. Tout étant séparé et découpé à la base, il devient très rapide et facile de créer des zones de flou progressives sur les éléments pour attirer l’œil sur un détail net. Comme une véritable prise de vue avec un appareil photo, où le point est fait sur un objet précis dans l’image.

    Il n’y a que 3 images dont je ne connais pas la provenance exacte et dont je suis incapable de créditer les auteurs, car elles étaient présentes sur plusieurs blogs, ou sites sur le web, tant et si bien qu’il est difficile de savoir qui possède vraiment la source originelle sur son site. Je m’excuse auprès des auteurs de ces images s’ils les passaient dans le coin de n’avoir pu les créditer.
    Toutes les autres images proviennent des stocks libres de Deviantart, de Flickr, de la partie payante de Renderosity ou de la partie gratuite du même site.

     

     


    C’était la première fois depuis que j’écris des histoires dans le monde des Sims que je signais toutes mes images. Paradoxal me direz vous, vu que les fonds ne sont pas de moi. Peut être en effet, mais je ne les ai pas signées pour m’approprier les fonds des auteurs qui ont tous été crédités, et qui ont eu les liens pour accéder aux images et regarder le travail réalisé avec leur stock, mais plutôt contre certaines personnes du monde sims qui parfois reprennent telles quelles des images sur leurs blogs en ne créditant personne, et pire, en faisant croire qu’ils ont tout fait ! Je me rappelle du pillage des images de ma nouvelle « Tu étais... » où la voleuse non seulement n’avait pas crédité la source des photographies, mais pire avait écrit tout un blabla larmoyant à ses lecteurs pour dire : « j’arrête cette histoire, mon frère à effacé mes quartiers sims de mon ordinateur, j’ai perdu la simsette de l'histoire. » Ce qui était particulièrement culotté dans le genre, vu que la simsette elle ne l’avait jamais eue dans son jeu.

    Donc bref, je m’étale, je m’étale.
    Voilà en gros la genèse de cette aventure et comment elle a été réalisée.
    En espérant que vous avez pris plaisir à lire cette histoire et qu’elle vous aura donné envie de découvrir, ou de redécouvrir les nombreuses sources qui ont pu l’inspirer !

    Passez de belles vacances pour ceux qui en ont et surement à bientôt ici ou ailleurs pour de nouvelles aventures !


    Lindsay Dole - Link

     


    12 commentaires
  • Bonjour à tous !

    Me revoici avec une nouvelle expérience littéraire pour Stella, Horizon et tous les compagnons de l'Arc-en-Ciel.

    J'ai inscrit le roman sur le site My Major Company, pour tenter une éventuelle publication de l'ouvrage au grand public.

    Qu'est-ce que My Major Company ? C'est un label qui permet aux internautes comme vous et moi de miser sur des artistes pour les aider à publier leur oeuvre : musicale, littéraire ou Bande dessinée. Pour obtenir un maximum d'infos, je vous invite à lire leur FAQ qui répondra à la plupart de vos questions.

     Le roman des Compagnons de l'Arc-en-Ciel y posède une page. Pour l'instant, l'ouvrage est au banc d'essai, ce qui signifie actuellement :

    A son inscription, un livre est d'abord au banc d'essai. Cela signifie qu'il n'a pas encore de jauge.

    C'est un temps qui est consacré à l'échange entre l'auteur et la communauté MMC Books, dont l'auteur doit profiter pour trouver conseils et soutien sur son travail, et fédérer sa communauté.

    Si nos équipes éditoriales ont un coup de de coeur pour un projet au banc d'essai, celui-ci obtiendra une jauge et vous pourrez acheter des parts.

    (extrait du site My Major Company)

    Ce qui signifie que vous pouvez utiliser le lien ci dessous pour vous exprimer sur le roman, relire éventuellemnt les extraits que j'ai mis en ligne, me laisser des commentaires constructifs ou encourageants, devenir fan de lapage, la partager sur Facebook, bref me permettre d'évoluer dans la communauté pour, pourquoi pas pouvoir un jour avoir la jauge qui permettra au livre d'être édité et vendu en librairie !

    N'hésitez pas ! Faites tourner, partagez sans limite !

    Bises à tous !


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